Voici ce que d'autres avait à lire à propos de cet ouvrage :
- Mademoiselle Christelle, dans Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, de Stefan Zweig
C’est la deuxième nouvelle que je lis de Stefan Zweig et j’ai toujours autant de plaisir à la dévorer. Le style y est toujours aussi fluide, les mots sont choisis, le récit est synthétique mais suffisant. « Vingt-heures de la vie d’une femme »met avant deux thèmes : la folie et la passion (l’une amoureuse et l’autre pour le jeu). Une passion qui va d'ailleurs conduire les personnages de cette nouvelle à la folie.. Stefan Zweig nous offre également une occasion de réfléchir sur la société dite "bien pensante" et les conséquences de la frustration des passions que l'on a enfouies. "Seuls peut-être des gens absolument étrangers à la passion connaissent, en des moments tout à fait exceptionnels, ces explosions soudaines d'une passion semblable à une avalanche ou à un ouragan : alors, des années entières de forces non utilisées se précipitent et roulent dans les profondeurs d'une poitrine humaine".
- Perrick, dans Des livres, onzième série
Après les lectures scolaires, je redécouvre la plume de Stefan Zweig : gracieuse, délicate et précise. Alors même que l'histoire pourrait être si banale (homme, femme, passion, amant, etc.), le "monologue" de Mrs C. prend du relief, du corps au fur et à mesure des pages. Un travail de dentelle dans les sentiments.
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