Voici ce que d'autres avait à lire à propos de cet ouvrage :
- Anne, dans Noir est l'arbre des souvenirs, bleu l'air
Je regrette juste la profusion de personnages principaux; aucun ne se dégage réellement. Je n'ai pas pu ressentir de l'empathie pour un en particulier. Or c'est surtout ce que j'attends d'une lecture. Sans ce bémol ce roman m'aurait, comme Lily l'a été, complètement subjuguée.
- Lilyetseslivres, dans Noir est l'arbre des souvenirs, bleu l'air @ Rosetta Loy
Il y aura désormais un avant et un après. Nous suivrons Giulia, Ludovico, et Marcello dans cette marche forcée du temps avec passion et émotion. Impossible de les quitter, Rosetta Loy nous entraîne à leur suite avec tant de conviction et de talent, qu’ils sont véritablement là, vivants devant nous. J’avoue avoir été subjuguée. De Lucia, nous n’apprendrons que beaucoup plus tard le destin, mais il se dessine, en creux tout au long du roman. C’est bouleversant. Je n’en dirai volontairement pas plus. Il faut se laisser porter par ce livre, aller jusqu’aux portes de Tobrouk, revenir à Venise, à Rome dans l’appartement mausolée, à Gravello où tout s’est arrêté, un jour funeste.
- 1000N1, dans Noir est l’arbre des souvenirs, bleu l’air de Rosetta LOY
Finalement, on peut dire que je suis vraiment entrée dans l’histoire et que j’ai commencé à l’apprécier dans les 100 dernières pages, quand j’ai enfin pris mes marques, mes repères, mes habitudes avec ces personnages et compris que des destins tragiques se cachaient en arrière-plan. En terminant ce roman, j’ai eu la curiosité de relire les premières pages (eh oui, pour la 3ème fois !) et l’histoire m’est tout à coup parue plus limpide, plus simple. C’est seulement en refermant ce livre que je me suis dit « finalement c’était une belle histoire ». Et quelque part, c’est dommage que je me le dise seulement à ce moment-là…
- Jlc, dans Noir est l'arbre des souvenirs, bleu l'air de Rosetta Loy
C’est très subtilement écrit et certaines phrases sont tout à fait magnifiques comme cette description de Rome « qui se perd dans le gris violet de l’hiver comme un mirage », ou le retour de Lucia « quand le crépuscule avait déjà éteint le bleu de la journée et le rouge des coquelicots » avant que ne retombe le silence «devenu tout à coup un silence sans air. Sans lumière ni couleur. Un silence sans. » Rosetta Loy ne hausse jamais le ton, préférant souvent la confidence à l’emphase. Mais ce ton trop feutré est aussi une faiblesse.
- Perrick, dans Des livres, huitième série
Un très beau roman, tout en ellipse et en flash-back, en descriptions précises et en évocations pudiques. L'histoire d'une famille italienne (les parents, trois frères et soeurs) qui navigue comme elle peut dans les remous de la Seconde Guerre Mondiale entre Venise, la Libye, la campagne ligure et Rome.
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